Épilogue
Une histoire de gourmandise

« On ne naît pas pâtissier, mais on le devient ». Un métier pour lequel Julien Goulet  s’est pris de passion très jeune. « Mes parents étaient restaurateurs. Petit déjà, j’étais tout le temps fourré dans leur cuisine à faire des mousses au chocolat », raconte-t-il.

Après avoir travaillé auprès d'Hélène Darroze à Londres, puis Sébastien Bouillet  à Lyon, et s'être forgé une solide expérience en pâtisserie, Julien décide de se lancer à son compte, avec pour ambition de travailler avec des produits locaux et de saison, en circuits courts afin de mettre en avant les producteurs de nos régions. Ses valeurs phares sont l'excellence, l'authenticité et la passion.

Nous l'avons donc accompagné dans le choix du nom et la création de son identité visuelle, pour aboutir à cet univers de marque aux saveurs douces, parfois acidulées, et toujours croquant sur les bords.

Concept Naming

Si l'épilogue est la conclusion d'un discours, d'un poème ou d'une œuvre littéraire, pourquoi ne serait-il pas la conclusion d'un repas ? Le dessert serait alors l'épilogue du repas. Le préfixe "épi" viendra évoquer l'activité de boulangerie en évoquant l'épi de blé.

Le début d'une histoire sans faim

On y entre comme dans une librairie, pour chercher un cadeau, sans idée précise. Ce n'est pas un endroit prétentieux. Il faut chaud, et l'odeur du pain vient nous chatouiller les narines.

L'étal est une bibliothèque de saveurs, le choix est abondant. Le serveur nous conseille, avec simplicité et passion. Chaque gâteau a sa petite histoire. La carte est le sommaire, la vitrine, la couverture. Le pain se vend à la livre et les macarons sont des Arlequins. On y parle de collections, d'ouvrages et de relecture de recettes anciennes. L'ambiance est authentique.

Alors on repart avec un bout d'histoire et l'épilogue se fera dans notre assiette.