Les nouveaux pictogrammes des Jeux Olympiques de Paris 2024 n’auront pas la médaille d’or

14 février 2023  |   20 Commentaires   |    |  

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Article mis à jour le 20. 02. 2023

Les organisateurs ont dévoilé les nouveaux pictogrammes des Jeux Olympiques de Paris 2024. Souhaitant "créer la rupture et révolutionner les formes", le système semble être tellement disruptif et peu lisible qu'il finit par nous perdre totalement. Ces nouveaux pictogrammes n'en sont d'ailleurs pas, et viennent perturber un système de communication qui n'avait pas besoin de l'être.

Avant de commencer, il nous faut rappeler que l'on ne peut prétendre à connaitre tous les arguments qui ont pu conduire le Comité d'organisation des jeux à choisir ces pictogrammes. Les designers du comité et de l'agence qui les accompagne ont dû travailler pendant des mois. Leur investissement a dû être total. Ce sont des professionnels expérimentés. Chaque choix a probablement été l'objet d'âpres débats pour aboutir à des consensus avec le commanditaire. Il nous semblait important de débuter en rappelant cela. Notre analyse se base uniquement sur le résultat final de leur travail et sur les informations disponibles publiquement.

Une identité "révolutionnaire" pour les Jeux Olympiques de Paris ?

Pour commencer, il y a d'abord eu le nouveau logo des Jeux Olympiques, la femme-flamme (la flemme ?) qui venait bouleverser les codes classiques avec en son sein un visage féminin aux allures du logo Tinder et à la chevelure dorée. Mettre une femme, Marianne, en avant pour les JO, c'était le pari(s) de la ville des droits de l'homme. Julie Matikine, directrice de la marque Paris 2024 parle "d'une révolution culturelle, de volonté de rupture, d'élégance et d'audace, incarnés par ce visage de femme pour porter le sport français." Très bien. Surtout quand on sait que le fondateur des Jeux modernes, Pierre de Coubertin, a lutté toute sa vie pour empêcher la pratique du sport aux femmes ! On se demande néanmoins si déplacer le sujet -du sport vers le genre (en accentuant du coup vraiment les codes du genre féminin, avec des cheveux au brushing parfait et une bouche bien dessinée)- ne dessert pas l'identité fondatrice des Jeux, et pour le coup aussi l'égalité femme-homme, puisque le logo se base sur des stéréotypes de genre, justement. Passons.

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À gauche, le logo des Jeux Olympiques de Paris, à droite les Phryges en numérique et en peluche, mascottes de Jeux Olympiques d'été 2024

Ensuite, la mascotte. Ha ! la mascotte des Jeux Olympiques. En théorie, le bonnet phrygien aux allures de clitoris semble revendiquer lui aussi le passé Révolutionnaire français, l'abolition des privilèges, et la figure féminine. "Les Phryges ne sont pas des animaux mais bien des idéaux, pour nous aider à mener la révolution par le sport" explique Julie Matikine. On pense à la Liberté guidant le peuple de Delacroix, mais en plus kawaï (mignon, en japonais). En pratique, les Phryges, au prénom imprononçable à l'étranger -un choix de nom qui risque réellement de poser problème pour les visiteurs et qui semble absurde dans un contexte d'union internationale- arborent des yeux de cocarde bleu-blanc-rouge et des allures de cartoon qui vont sûrement ravir les enfants. Les peluches et autres dérivés sont produits à 80% en Chine et à 20% en France (on salue cet effort et les deux entreprises concernées par la production), avec du polyester recyclé (un petit pas pour se donner bonne conscience)... parce que la vraie révolution n'aura pas lieu en 2024 !

Questionner l'utilité de la révolution

La médaille d'or ne revient hélas pas pour autant aux pictos des Jeux Olympiques de Paris 2024. Pour faire la Révolution, Julie Matikhine, directrice de la marque Paris 2024, a annoncé que "les pictogrammes sont un temps révolu". Halte-là ! Si faire la révolution signifie opérer un changement radical pour faire basculer l'ordre établi parce que les institutions ou services en place ne répondent pas ou plus aux besoins, est-ce vraiment un acte révolutionnaire de faire simplement les choses différemment ? Avant de changer les choses par plaisir, il est bon d'interroger l'utilité et l'efficacité des outils ou systèmes utilisés. À priori, donc, si un système justifie son efficacité, il ne devrait pas être nécessaire de le renverser.

Revenons donc un temps sur les pictogrammes des Jeux Olympiques utilisés depuis les années 60 et l'utilité d'un tel système dans un contexte international, avant d'expliquer pourquoi les nouveaux symboles illustrés des Jeux Olympiques (qui ne sont pas des pictogrammes) risquent d'entrainer au mieux le chaos, dans la pire des révolutions.

À quoi servent les pictogrammes des Jeux Olympiques ?

Lorsque les premiers Jeux Olympiques modernes sont créés, on souhaite rassembler les nations dans la Paix, à travers la pratique sportive qui servira à s'affronter sur le terrain et non sur un champ de bataille. La valeur fondatrice des Jeux tient dans cette notion même de rassemblement pacifiste des nations, à travers le sport. Et qui dit rassemblement des nations dit plusieurs cultures et plusieurs langues, et donc harmonisation avec un langage commun. Il faut créer un système de langage pictural universel et non verbal : c'est chose faite avec les pictogrammes.

Si les pictogrammes constituent les tout premiers signes d'écriture, (composés d'idéogrammes, dessins d'idées ou de concepts, et/ou de phonogrammes, dessins pour représenter un son), l'idée d'un langage visuel universel commun à tous les humains n'est pas nouvelle, loin de là, et voit son apogée dans les années 1920 en Allemagne. On cherche alors à développer des formes de langages "universels" par le biais de la géométrie et des mathématiques, qui traduisent parfaitement la pensée rationnelle propre aux humains. C'est à cette époque qu'est créé l'Isotype, une série de pictogrammes servant de statistiques visuelles pour illustrer et rendre accessible au plus grand nombre des statistiques mondiales, dans un souci d'émancipation des travailleurs et de démocratisation du savoir pour tous. Ces pictogrammes et ces codes et règles géométriques serviront de base pour créer la signalétique des routes, et les pictogrammes des Jeux Olympiques.

Les premiers pictogrammes des Jeux Olympiques, un langage universel

On crée quelques pictogrammes pour les premiers JO de 1896 en Allemagne mais c'est au Japon en 1964 que les graphistes imaginent les premiers pictogrammes des Jeux Olympiques en un ensemble de symboles cohérents, car personne ne parle japonais à part les locaux. Ceux-ci ont pour vocation de faciliter les déplacements et la compréhension sur les sites sportifs. C'est pour les Jeux Olympiques de 1964 que l'on invente par exemple les pictogrammes genrés "toilettes pour femmes / toilettes pour hommes" et que l'on dessine un symbole pour chaque discipline sportive. Chacun doit être facilement compris par tous, d'une manière simple et rapide. Les graphistes doivent pour cela faire abstraction de la sémiotique culturelle ou linguistique.

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Les premiers pictogrammes des Jeux, Tokyo 1964

Après Tokyo en 1964, chaque ville s'approprie ensuite les pictogrammes et les fait évoluer. Mexico se démarque en mettant l'équipement sportif en avant plutôt que les sportives et sportifs eux-mêmes. Dans les années 90 à Albertville puis Barcelone, on crée des pictogrammes en brush painting qui font partie intégrante de l'identité visuelle des JO. En 94 à Lillehammer on intègre l'histoire de la Norvège aux pictos, basés sur le dessin d'une gravure (d'il y a 4000 ans) d'un homme à skis. L'intégration d'éléments de culture aux pictogrammes Olympiques devient alors une démarche commune pour les pays. Dans les années 2000, on commence un peu à broder et à épuiser le mécanisme sans avoir toujours des choses à raconter ni trouver une cohérence ; Sydney utilise systématiquement un boomerang comme élément pictographique, Athènes en 2004 fait un clin d’œil aux Jeux Antiques avec des personnages qui ressemblent aux gravures des amphores Grecques, et Sotchi en 2014 reprend les codes des JO de Moscou de 1980.

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Néanmoins, les pictos sont efficaces : on distingue le sport symbolisé en moins d'une seconde. Cherchez l'intrus :

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Même en 1968, quand Roger Excoffon s'amuse à l'art optique, la lisibilité des pictogrammes est assurée. Du grand art.


En 2020, Tokyo innove et propose les premiers pictogrammes animés pour les JO, un sublime et inventif mélange de l'iconographie classique à la sauce numérique moderne avec des parties évidées suivant la loi de clôture, qui fonctionnent à merveille. Au passage vous pouvez jeter un œil sur la cérémonie d'ouverture où ils se sont amusés à rejouer l'ensemble des pictogrammes en vrai : un régal.

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En 2024, Paris crée la catastrophe et abandonne les pictogrammes traditionnels des Jeux Olympiques. L'organisation chamboule tout cet héritage et complexifie les pictogrammes des Jeux en inventant des blasons symétriques et complexes, difficiles à comprendre en un clin d’œil ou pour les novices desdits sports. Ils sont composés suivant un axe de symétrie et reprennent un élément du terrain et des éléments de l'équipement sportif :

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Le problème des pictogrammes de Paris 2024

Le problème des pictogrammes des JO de Paris 2024 est très simplement que ce ne sont pas des pictogrammes ! Paris propose non pas un langage pictural, mais "un dessin, une œuvre picturale, qui porte un message puissant, qui ne représente pas l'humain en situation de sport, mais qui donne le cadre de ce sport et qui invite à le rejoindre" à travers "des blasons, qui expriment cette notion de famille, de communauté, d'un étendard derrière lequel on est invité à venir se ranger quand on partage des valeurs, un style de vie, des attributs" comme l'explique la directrice de la marque.

Le pictogramme, du latin pictus (peint) et du grec gramma (signe écrit) est un signe symbolique représentatif, et véhicule illustré d'une idée. Enlevez-lui sa famille de référence, rendez-le trop abstrait ou dessinez-le d'une manière trop complexe, il devient icône ou idéogramme. Le pictogramme permet la représentation simplifiée et claire d'une idée, d'une action ou d'un objet, au juste milieu entre l'abstraction et le figuratif. Il s'inscrit dans un système, un contexte, et permet avant tout d'être rapidement lisible et compris par tous, dans toutes les langues. Voyez-vous le problème qui se dessine à l'horizon 2024 ? S'ils sont graphiquement innovants et intéressants, ces symboles sont illisibles, car trop illustratifs, et ne répondent pas au problème de communication des Jeux Olympiques.

Un faible degré d'iconicité

Tout designer graphique connait empiriquement la notion de seuil de lisibilité, cette frontière qui fera qu'une image est lisible ou ne l'est pas. Le travail de simplification d'une forme ou d'une idée touche à son paroxysme lorsqu'il est question de pictogramme.

Abraham Moles (1920-1992) a travaillé sur cette notion de degré de lisibilité et a défini en 1971 une échelle d’iconicité. Cette échelle hiérarchise les différents signes du degré d’analogie le plus fort au plus abstrait. Elle permet de classer les signes iconiques selon leur degré de stylisation et de simplification. Cette échelle mesure donc l'écart entre le réel et la représentation. Plus le degré d’iconicité est élevé, plus le signe est analogique, autrement dit plus sa représentation est proche de son référent.

Dans cette échelle, pour présenter une image photographique il faut beaucoup d'espace (ou de détails) mais sa reconnaissance sera très rapide, tandis que pour prononcer le mot vache il faut du temps (et pas d'espace). On notera que le pictogramme se situe exactement au milieu, représentant l'optimum entre le temps et l'espace. C'est un signe fait pour être vu de loin en petit (=peu d'espace) dans un contexte bref (=peu de temps). L'exemple des panneaux routiers étant l'archétype de ces situations.

Si on applique cette échelle d'iconicité aux pictogrammes des jeux de Paris 2024, ils se situent entre le schéma (60) et l'illustration (70), loin de l'optimum attendu de 50 pour des pictogrammes.

D'ailleurs, pour la parenthèse, et puisque l'on parle de vache : la lettre A n'est rien d'autre qu'une représentation pictographique de la tête d'une vache (divinité antique) ! C'est ce que l'on apprend à la page 127 de l'Homme et ses signes d'Adrian Frutiger. Fin de la parenthèse.

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Pictogrammes ou blason ? La forme n'a pas le même sens

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Là où le pictogramme rassemble par un symbole le plus universel possible (même si ses traits peuvent être culturels) prenant en compte dans sa conception l'analyse du langage, les théories sociales et même les jeux d'optique, le blason n'est qu'un dessin de clan plus ou moins illustré ou figuratif, qui n'appartient, lui, qu'à ses membres. On parle de blason pour les membres d'une même armée, d'une famille, d'un territoire donné. Là où le pictogramme rassemble, le blason cloisonne et différencie. Là où le pictogramme simplifie et s'adresse efficacement et rapidement à tous dans un élan d'universalisme, le blason brode, illustre et raconte avec moult détails les valeurs de son clan.

Les Jeux Olympiques n'ont pas besoin de rassembler les fans derrière les couleurs de leur clans, ils le font déjà. En revanche, ils ont besoin de symboles clairs pour guider les foules, et ce n'est certainement pas ce que feront ces blasons. Pour rappel, plus de 60% de la population mondiale ne lit pas l'alphabet latin et 75% ne parle pas un mot d'anglais, encore moins de français, les pictogrammes s'adressent en premier lieu à ces millions de visiteurs afin de faciliter leurs déplacements. En matière d'utilité publique c'est pas gagné. Et pour l'accessibilité, on évitera les tests RGAA.

Nous trouvons que la cible de shoot ressemble à un gouvernail de bateau, le surf à une fleur, le trampoline à un pansement et le rugby à 7 à deux haltérophiles qui tirent le même poids. Quand au plongeoir aux allures de spéculum (ce charmant outil pour écarter les vulves et le vagin des femmes chez le gynécologue), ci-dessous, on dirait qu'il indique qu'il est interdit de plonger ! Si ces pictos fonctionnent en version animée et donc sur support numérique, ils sont presque illisibles en petit format, et encore plus sans légende (ce qui est absurde pour un picto). Il faut vraiment voir comment l'équipe créative des JO va s'adapter pour répondre à ce besoin de lisibilité, mais nous ne pouvons cacher notre étonnement (objectif) face à un tel choix graphique.

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Picto officiel des Jeux Olympiques de Paris : interdit de plonger ?

Tony Estanguet, triple médaillé en canoé aux Jeux Olympiques et directeur des Jeux 2024, affirme qu'en tant qu'athlète ou même supporter on est fier de porter les couleurs de son sport favori en collectionnant casquettes, t-shirts, porte-clefs etc. ornées de pictos. Nous avons la sensation dérangeante que ces pictos ont plus été pensés pour leur potentiel illustratif et donc mercantile plus qu'informatif, et avant tout comme support marketing. Ce que Joachim Roncin, directeur du design des JO 2024, confirme dans une interview parue après la parution de cet article : ces pictogrammes ont été conçus comme des illustrations, "plein de blasons à la Game of Thrones", "un truc représentatif comme un blason d'une ancienne équipe de foot, à porter sur des t-shirt". On comprend le côté fédérateur et l'envie de porter les couleurs de son sport, mais le terme pictogramme ne semble donc ici pas approprié. Rassembler par le sport, on ne peut que souhaiter cela aux JO, mais comment bien informer les spectateurs sur place ? Peut-on compter uniquement sur le digital ? Ce qui semble problématique est que, d'après la presse, l'équipe créatrice est en négociation avec le Comité Olympique pour proposer l'utilisation de ces "pictos" à Los Angeles en 2028.

En attendant de voir leur application et une éventuelle solution graphique, Geoffrey Dorne, designer militant, a déjà détourné les pictos pour mettre en avant les dérives sociales des Jeux français... et on adore !

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Pour conclure, on vous invite à essayer le Picto-Quizz du journal le Parisien : réussirez-vous à distinguer les nouveaux logos des disciplines olympiques ?

Vous pouvez nous indiquer votre score en commentaires. On est curieux.


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20 commentaires :

  1. Stéphane :

    J’espère vivement un regard graphique sur « l’affiche » des JO qui vient d’être dévoilée.

  2. Julie Catherine :

    Je trouve les pictogrammes très intéressants et intrigants. Ils prennent peut-être un peu
    plus de temps à être déchiffrés, mais en observant les détails on réfléchit et on y arrive !
    J’ai eu 13/15 au test.

  3. Constance :

    Article passionnant et complet qui explique très bien l’absurdité de ces « pictos » 2024. Sans parler du logo… Merci !

  4. Cqoicebordel :

    Moi je trouve génial l’apparition du jokari aux JO… (GRS)

  5. François MAIRE :

    Excellent article . Effectivement, on cherche la lisibilité immédiate du logo… C’est du grand n’importe quoi. Pas tant le concepteur ( qui s’est planté mais ça, ça arrive !) , mais surtout le jury qui a opté pour! Tout est à l’avenant…
    JO= bénéfices pour le CIO et les privés / les pertes pour la ville et le pays d’accueil. J’espère que ces JO vont foirer, qu’on ait enfin la paix avec ce sport-business….qu’on nous impose !

  6. Malvina :

    Merci pour cet article passionnant.
    J’ai adoré la vidéo des pictos des JO de Tokyo. Incroyable.
    Sur cette édition j’ai beaucoup la proposition qu’avait fait Kenya Hara aussi. Il l’a présente sur son site:
    https://www.ndc.co.jp/hara/en/olympic2020.html

  7. Virginie Petratos :

    Merci pour cet excellent article très bien construit et qui reste cependant respectueux des créatifs car le rendu graphique est de qualité, certes, mais en effet peut-être pas vraiment adapté à leur fonction finale… (9/15 pour moi au test…)

  8. Lisa :

    12/15, je suis assez surprise d’en avoir trouvé autant, ils sont si peu lisibles ! C’est presque de la lecture de hiéroglyphes, de loin ou d’un coup d’œil ils sont difficiles à deviner. Les pictogrammes sont sensés être synthétiques comme vous développez dans l’article.

  9. Emanuel DAUREL :

    L’article démoli la création pure de ces dessins et je trouve ces logos très réussis !
    Ils permettent de réfléchir à ce qu’on va voir et permettent aussi la réflexion .
    Belle réussite !!

  10. Eric Choisnet :

    Super, cet article effectivement, très peu de lisibilité, mon score au test 10/15 mais fortement aidé par la lecture de l’article où il y avait des exemples.

  11. Baumont gilles :

    Un mot : L U M I N E U X
    … autre : merci

  12. b :

    très intéressant. Merci.
    J’ai obtenu 12/15 au test, avec quelques réponses « au hasard » :-)

  13. Mondor Luce :

    Cet article est aussi lumineux qu’impliquant : bravo et merci !

  14. Yann :

    L’article est fort intéressant et bien argumenté. C’est vrai que c’est fou ces blasons pour 2024, on a du mal a saisir tout de suite de quel sport il s’agit. 11/15 au test, ce qui n’est pas si pire. Faudra quand meme que l’equipe prépare de vrais picto, quitte a garder ses illustrations actuelles pour le merchandising.

  15. RICHARD Christian :

    Excellent article. La débâcle continue.
    La honte sur ces jeux s’annonce très forte.
    Bravo et merci à Monsieur Dorne pour sa « participation »

  16. JULIEN CABANE :

    12/15 mais on était deux et y’a eu débat pour comprendre ! Et le quizz aide bien puisqu’il propose un sport (pour le surf j’aurais répondu « éolienne freestyle »).
    Au delà du résultat, c’est le temps pour répondre au quizz qui devrait être mesuré !

  17. Nicolas :

    Article toujours aussi intéressant que détaillé et sourcé. Merci beaucoup.
    10/15 au quiz là où il faudrait être au plus proche de 15/15…

  18. Didier Gérardin :

    En effet, ce ne sont pas des pictogrammes ! Et on en perd tout l’intérêt, ce n’est pas lisible.

  19. Agathe Pascal :

    9/15 pour moi, mais parfois par hasard, parfois en réfléchissant beaucoup :)

  20. Geoffrey Dorne :

    Excellent article qui résume parfaitement le sujet :-) Merci aussi pour la mention 🖤

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